Amélie Mauresmo a choisi le Pays basque car les Basques forment un peuple qui apprécie la vraie nature des individus avant la fausse notoriété des « people »… C’est d’ailleurs pour cela que ces derniers se ressourcent ici depuis si longtemps.
Amélie Mauresmo : l’étoile du tennis à l’âme basque
Connue pour sa puissance, son intelligence de jeu et sa résilience, Amélie Mauresmo a marqué l’histoire du tennis en devenant l’une des premières joueuses françaises à atteindre le sommet mondial. À 45 ans, elle reste une figure emblématique du sport, ayant réussi à se réinventer en dehors des courts tout en restant attachée à ses racines, notamment au Pays basque, où elle a choisi de s’établir après sa carrière.
Un parcours exceptionnel sur les courts
Le parcours d’Amélie Mauresmo est une véritable ode à la persévérance et au talent. Elle commence le tennis à un très jeune âge et se distingue rapidement par sa technique exceptionnelle et son jeu offensif. C’est en 2006 qu’elle atteint l’apogée de sa carrière, remportant non seulement l’Open d’Australie mais aussi Wimbledon, devenant ainsi la première Française à remporter ce tournoi prestigieux depuis Suzanne Lenglen en 1925. Cette année-là, elle se hisse à la première place mondiale, une consécration pour une athlète qui a dû surmonter de nombreux obstacles, y compris les doutes et critiques sur son style de jeu agressif et sa personnalité affirmée.
Une battante, sur et en dehors des terrains
Amélie Mauresmo est reconnue pour sa force mentale et son calme sous pression, s’imposant dans un monde compétitif souvent dominé par des stéréotypes. Son coming-out en 1999, en plein tournoi de l’Open d’Australie, fut un acte de courage qui a fait d’elle une icône du mouvement LGBTQ+ dans le sport, bien avant que ces discussions ne soient aussi ouvertes qu’aujourd’hui. Cette capacité à affronter les défis de front est devenue une caractéristique de son parcours, tant comme joueuse que comme capitaine de l’équipe de France de Fed Cup et entraîneure de grands noms du tennis masculin, notamment Andy Murray, avec qui elle a remporté deux titres du Grand Chelem.
Un style de leadership naturel et humain
Après sa retraite sportive, Amélie Mauresmo n’a pas abandonné sa passion pour le tennis. Elle a démontré un talent naturel pour le coaching et la gestion d’équipe, grâce à son approche empathique et sa compréhension fine du jeu. Que ce soit en tant que capitaine ou entraîneure, elle a su inspirer confiance et respect, alliant intelligence tactique et sens aigu de la gestion humaine. Sa capacité à fédérer est devenue sa marque de fabrique, et elle a été nommée directrice du tournoi de Roland-Garros en 2022, un poste rare pour une femme dans un sport encore largement masculin.
Un attachement fort au Pays basque
Malgré ses nombreux succès et ses voyages autour du monde, Amélie Mauresmo a toujours ressenti le besoin de revenir à l’essentiel. C’est au Pays basque qu’elle a trouvé refuge. Anglet et ses environs offrent un cadre de vie paisible, en harmonie avec la nature, contrastant avec l’agitation des tournois internationaux. Amatrice de sports en plein air, elle profite des montagnes et de l’océan, cultivant une vie simple et équilibrée avec ses deux enfants, loin des projecteurs. Attachée à la région, elle participe régulièrement à des initiatives locales et soutient des projets valorisant le territoire basque, en particulier ceux liés au sport et au bien-être.
Une femme aux multiples talents
Ce qui distingue Amélie Mauresmo, au-delà de ses succès sur le terrain, c’est sa capacité à se réinventer et à relever de nouveaux défis. Aujourd’hui, elle est une mère comblée, partageant son amour du sport avec ses enfants, tout en continuant de s’impliquer dans le monde du tennis et dans ses affaires dans l’immobilier de luxe, le vin et la gastronomie. Toujours aussi passionnée, elle s’engage pour faire évoluer les mentalités, notamment en matière d’égalité des genres dans le sport et de promotion de la diversité.
Un avenir prometteur, ancré dans ses valeurs
Amélie Mauresmo est bien plus qu’une ancienne championne de tennis : elle est une source d’inspiration pour de nombreuses générations. En conciliant ses valeurs de résilience, d’authenticité et de passion, elle continue d’influencer le sport français et de promouvoir une vision plus ouverte et inclusive. Avec ses racines fermement ancrées au Pays basque, elle incarne une belle harmonie entre une vie sportive intense et une quête de sérénité, faisant de sa carrière et de sa vie un exemple à suivre.
Amélie Mauresmo demeure, sans aucun doute, l’une des grandes figures du tennis français, mais aussi une ambassadrice naturelle du Pays basque, ce coin de France qui l’a adoptée et où elle a su trouver un équilibre entre ses différentes passions.Alors certes, le tennis ce n’est pas la pelote, mais reconnaissons lui le mérite d’avoir une excellente vista dans le jeu comme dans la vie…
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VOUS
Quel héros vous fascinait quand vous étiez enfant ?
Petit, mon centre d´intérêt était le foot et la Real Sociedad. J´ai connu l´âge d´or de son histoire (champions en 1981 et 1982) et j´ai eu l´honneur de recevoir la coupe de champions de foot plage des mains d´Arconada. C’est l’exemple d´un leader sur le terrain et en dehors du terrain.
Il existe trois petits mots magiques avec lesquels nous pouvons construire des relations de confiance. Il est convenable de les utiliser plus souvent :
- Je t’aime
- S´il te plaît
- Pardon
Quel souvenir aimeriez-vous laisser à ceux que vous aimez ?
Difficile de répondre à cela… mais j´aimerais qu’ils gardent le souvenir de quelqu’un de cohérent qui a fait tout son possible pour leur faire passer de bons moments.
VOTRE TRAVAIL
Quel a été votre premier job dans la vie ?
J’ai commencé à travailler dans la menuiserie de mon père à l´âge de 15 ans pendant les vacances scolaires. J’avoue que cela ne me plaisait pas du tout, mais je reconnais que ce fut une bonne école pour prendre conscience de la valeur du travail dans notre société.
À quoi ressemble une de vos journées de travail aujourd’hui ?
Ma journée commence à 8h et finit… vraiment je ne sais pas quand est-ce que je commence et quand est-ce que je finis. Mais à partir du vendredi à 15h30 je fais le break jusqu’au lundi matin pour me consacrer aux miens… et à moi-même.
Le quotidien consiste à accepter que le planning fixé en début de journée peut changer à n´importe quel moment… tout en gardant son calme !
Quelles sont les qualités professionnelles que vous appréciez ?
La persévérance et le travail en équipe… 2+2=5
VOTRE PAYS BASQUE
Quel est votre meilleur souvenir au Pays Basque ?
La route de la Corniche entre Hendaye et Saint-Jean-de-Luz. Quand j´étais tout petit on partait en famille en ballade de Zarauz à Bayonne pour visiter les amis de mon Grand Père. C´est ici qu’on faisait un petit arrêt pour pique-niquer et admirer le paysage. Ce sont les meilleurs souvenirs que je garde de mes grands-parents et de mon enfance.
Quels sont les lieux que vous aimez fréquenter ici ?
Pour un « Donostiarra », c´est très difficile de se séparer de sa ville… mais monter en VTT jusqu´au sommet de Bianditz et pouvoir apprécier le paysage, fait partie des petites merveilles de notre pays. En plus, on ne distingue pas de frontière entre le nord et le sud.
À quoi ressemblerait votre Pays Basque Idéal ?
Maintenant que le terrorisme indépendantiste n´est plus présent dans notre quotidien, il commence à être idéal n’est-ce pas ?
Néanmoins j´aimerais qu’il existe une relation plus étroite entre Iparralde et Hegoalde
VOTRE QUESTION
Quelle question aimeriez vous poser si vous étiez sûr(e) d’avoir la réponse ?
Quand mes deux filles sont nées, j´ai cherché partout le mode d´emploi, mais je ne l´ai pas trouvé.
Quelqu’un peut me dire où se trouve-t-il ?
; )