Ostium cosmétics
Distinguée au titre de ses qualités humaines, de sa détermination, de son exigence professionnelle et de l'éthique médicale qu'elle met au service de la beauté des femmes.

PORTRAIT : 

Anne Toselli est un exemple à suivre. Après un beau parcours professionnel comme médecin-chef au sein de l’assurance maladie, elle décide de retourner sur le terrain au Pays basque comme médecin spécialisée en gériatrie. Là, la femme en elle constate sur ses patientes les dégâts du temps. Consciente qu’aucun produit cosmétique ne répond idéalement selon elle aux besoins des peaux mûres, elle entreprend de développer sa propre formule à base de produits bio et de grande qualité.

Elle poursuit deux objectifs : créer une gamme de produits cosmétiques abordables dotés d’une efficacité médicalement prouvée et vérifiable à l’usage, faire que ces produits soient à base d’ingrédients naturels sans aucun risque ni pour ceux qui les utilisent, ni pour notre planète.

Après quelques années de recherche en lien avec les meilleures références scientifiques du secteur et les meilleurs fournisseurs de produits de qualité certifiée, elle découvre la formule idéale qui remplit tous ses critères d’exigence et décide de créer la marque Ostium.

Bien entendu, elle sait que sa petite société basée à Sare ne pourra jamais rivaliser avec les géants internationaux ou les laboratoires nationaux souvent d’inspiration thermale déjà bien implantés qui font du lobbying auprès des professionnels à grands renforts de marketing et de publicité.

Cependant, elle sait que sa formule est efficace et sans égale, et que les clientes qui utilisent son incroyable crème jour et nuit par exemple, ou son sérum tenseur, peuvent rapidement constater leur efficacité réelle au regard d’autres produits parfois excessivement plus chers…

L’important pour Anne Toselli n’est pas d’être à la tête du plus gros laboratoire du monde, mais du meilleur laboratoire cosmétique du monde au Pays basque… Un secret bien gardé et presque réservé aux habitants d’ici, comme une cure de jouvence basque concoctée en secret par une Laminak qui aurait pris l’apparence d’une médecine vraiment très humaine pour sauver notre peau.

Au final Anne Toselli nous apprend que ni la volonté ni le talent ne prennent de retraite, et que comme ses crèmes le font à la peau, rester ce que l’on est vraiment, conserver son caractère, ses traits et sa passion, ne demande que de petits gestes quotidiens mais toujours répétés avec souvent davantage d’amour pour les autres que pour soi.

Franck Sallaberry

 

Mon autobiographie

Je suis née à NAVARRENX en septembre 1948, dans la maison de ma grand-mère, comme cela se faisait à l’époque, avec l’assistance d’une tante sage-femme que j’admirais beaucoup et qui n’est pas étrangère à ma vocation de médecin, car, petite-fille et adolescente, je l’accompagnais dans ses tournées avec « la valise bébé ».

J’ai passé toutes mes vacances d’enfant dans ce beau Béarn pluvieux, très gâtée par mes grand-mères dont j’étais l’unique petite-fille, mais très solitaire dans mes loisirs, peu nombreux à l’époque dans ces campagnes : j’ai appris à nager dans le GAVE aux côtés de mon père grand pêcheur de saumon, et j’ai sillonné avec ma bicyclette toutes les routes « pentues » des environs qui me conduisaient souvent vers MONCAYOLLE et l’HÔPITAL SAINT-BLAISE.

Mes grand-mères m’ont aussi inculqué le goût des belles et bonnes choses, car elles étaient très douées pour tenir une maison : le beau linge, la jolie vaisselle, la cuisine gourmande, les jardins fleuris, les repas de famille avec la belle truite saumonée pêchée le jour même, les conserves de foie gras, de tomates du jardin …bref une enfance choyée, mais aussi très encadrée par un grand-père Médecin général , héros de la Grande Guerre, qui me faisait faire du latin et du grec tous les matins, comme il l’avait souvent fait aussi pour des enfants du village.

Et puis, j’ai entrepris mes études de Médecine, à la Faculté de BORDEAUX, et j’ai passé ma thèse en 1974 sur les « phénomènes bio-électriques observés sur les cellules cancéreuses « après des fonctions d’interne et d’attachée-chef de clinique en cancérologie.

Ensuite, je suis partie en mission humanitaire au BENGLADESH suite au jumelage de BORDEAUX avec CHITTAGONG (le dernier engagement de MALRAUX !) où j’ai découvert les limites de ce genre de mission tant la corruption était présente y compris dans le milieu médical. Mais cette expérience a contribué à forger mon caractère qui sera toujours marqué par l’empathie envers les autres et l’admiration pour cette civilisation indo-musulmane et le courage de sa population.

Après mon mariage avec un architecte d’origine italienne, MARIO TOSELLI, j’ai pu encore cultiver mon goût pour l’art, notamment le baroque italien, et l’opéra, mais aussi pour la marche en montagne dans les massifs alpins après avoir fait mes débuts en escalade dans les Pyrénées (VIGNEMALE, BALAITOUS, NEOUVIELLE, AIGUILLES d’ANSABERE).

Professionnellement, après quelques remplacements en Médecine générale, je suis devenue Médecin-Conseil de l’Assurance Maladie et j’ai grimpé tous les échelons pour devenir Médecin Chef, d’abord au niveau d’un département puis d’une région (RHÔNE ALPES) puis au niveau de la CAISSE NATIONALE d’ASSURANCE MALADIE où j’ai été en charge de l’organisation des soins hospitaliers. Cela m’a conduite à manager de grosses équipes de collaborateurs médecins et à développer le dialogue avec les professionnels de santé et les autorités de tutelle gouvernementales.

Et puis, un jour, l’appel du terrain s’est fait sentir et je suis revenue en Pays basque où nous avons acheté une maison, à SARE, un lieu que j’adore et qui comble mes attentes.  J’ai repris le chemin de la Faculté de Médecine de BORDEAUX et mes chères études en préparant la spécialité de GÉRIATRIE que j’ai exercée en PAYS BASQUE entre 2008 et 2014 dans diverses structures médicalisées pour personnes âgées, notamment à IHOLDY et à CAMBO.

Mais le parcours ne s’arrête pas là. A l’heure de la retraite, j’ai voulu combler le vide que j’avais observé dans la prise en charge du vieillissement de la peau, avec toutes ses conséquences psychosociales dans la longue vie des femmes d’aujourd’hui, et j’ai créé une marque de cosmétiques biologiques « OSTIUM » qui allie efficacité scientifiquement prouvée, innocuité (Label COSMOS ORGANIC) et sensorialité.

Les packagings sont élégants avec un LOGO dessiné par mon mari qui représente une tanagra de la période grecque classique et un parfum naturel qui sent la figue fraîche et le citron. Je pense que l’on s’approche de l’excellence avec les produits que je propose sur mon site de vente en ligne www.ostium-cosmetiques.com et dans différents lieux qui les ont adoptés ( LA PARFUMERIE AUTREMENT à Saint-Jean-de-Luz, Biarritz, Bayonne, les Pharmacies des HALLES et des ARCEAUX et de la NÉGRESSE à BIARRITZ, les Pharmacies de SARE et d’ASCAIN, la maison d’Hôtes OLHABIDEA à SARE, l’Hôtel ARCE à St Étienne de BAIGORRY, l’Hôtel des PYRÉNÉES à Saint-Jean Pied de Port).

 

Voilà en quelques lignes mon parcours de vie…

Anne.

 

 

VOUS

Quel héros vous fascinait quand vous étiez enfant ?

Le général de Gaulle.

Quelles sont les valeurs qui vous sont essentielles ?

Loyauté, engagement, empathie…

Quel souvenir aimeriez-vous laisser à ceux que vous aimez ?

Mon jardin à Sare.

VOTRE TRAVAIL

Quel a été votre premier job dans la vie ?

Médecin.

A quoi ressemble une de vos journées ?

Le matin, réponse au courrier et préparation des expéditions de colis-produits OSTIUM.

L’après-midi, prospections ou lectures spécialisées dans mon domaine pour continuer à apprendre.

Quelles sont les qualités professionnelles que vous appréciez ?

Rigueur, créativité, curiosité, souci de partenariat.

VOTRE PAYS BASQUE

Quel est votre meilleur souvenir au Pays basque ?

La plage de Saint-Jean-de-Luz, enfant, et mon mariage à Itxassou.

Quels sont les endroits que vous aimez fréquenter ?

Les ports du Pays basque espagnol, en bateau, le shopping et les bars à tapas à Saint-Sebastien, les ballades dans la Haute Soule (Aussurucq), une partie de pelote au fronton de Sare, un concert à l’Eglise de Saint-Jean-de-Luz ….

À quoi ressemblerait votre Pays Basque Idéal ?

Une vieille ferme face à la RHUNE avec des moutons et des Pottoks et un voilier à Zumaia…

VOTRE GRANDE QUESTION

D’où venons-nous ? Comment la vie est-elle arrivée sur terre ?